Une vrai amie voit ta première larme,

Essuie la deuxième,

Et empêche la troisième...

Je regarde ma fenêtre, pleine de lumière comme à chaque fois, je veux aller dans cette lumière, sauter, et mourir. J'ai mal. Je sais qu'aucune force d'amour n'est faite pour moi que je suis comdamné à être malheureuse toute ma vie. Je veuyx que ça s'arrête je supplie, je supplie pour ne plus ressentir ce vide, et cette envie en moi qui me dit que je dois sauter. Je jure que je le ferai, je ferai le grand saut, le saut de l'ange, si c'est peut être le coût du bonheur je veux tout tenter.

Je pleurs, je pleurs. A l'intérieur de moi je crie, je hurle, je suis perdu. J'ail longtmeps observé ma fenêtre en me disant ce que ça changerait si je partait. En ce moment la mort m'appelle de sa douce voix, elle m'entrainera et bientot je ne seerais plus là. Je partirai, toute légère. Enfin sûre que personne ne pourra me repprocher ce que je n'ai pas fait, que  là haut, on ne me fera plus de mal, on ne me brisera plus le coeur. De la haut je surveillerait ces gens qui me font souffrir même si c'est eux qui me donne envie de m'en aller je les protègerais, aussi sûr que les larme qui coulent en ce momet sur mes joues viennent du plus profond de mon coeur qui st en train de se briser, qui l'est déjà.

Moi.

Quand viendra tu mon amour,

Pour me sortir de cette crevasse,

Dans laquelle je meurt peu à peu,

Je ne t'oublie pas,

Ne m'oublie pas,

N'oublie pas mon amour,

Que je t'attend,

Et qu'avant de voir la fin,

Je pense à toi,

A ton souffle sur mes yeux,

Pour en sortir la poussière,

A tes lèvres posées lentement sur les miennes,

A tes bras qui m'étreignent,

Et à tes yeux dans lequel je vois le reflet,

De tout l'amour que j'ai pour toi,

Au fond de cette crevasse où je meurt peu à peu,

Le souvenir de tout ça,

Et de ton amour pour moi,

Me donne du courage.

Lachouchoutedu72